Patées maison 100 % naturelles

Plante médicinale, l’ortie est dépurative, tonique, achève le processus d’élimination en épurant le sang des toxines qu’il contient. Certains diurétiques éliminent les chlorures et sont utiles en cas d’œdèmes ; d’autres peuvent augmenter le volume des urines et éliminent l’urée diurétique, contracte la vésicule biliaire permettant ainsi l’évacuation de la bile par le foie, favorisant la digestion et le passage de la bile du canal cholédoque dans l’intestin cholagogue et antianémique. Elle est riche en vitamine C (100mg pour 100g de feuilles), B et A. Elle contient calcium, fer, potassium, phosphore et magnésium. Elle est de plus riche en protéines (20% des feuilles sèches).

Crevette

Comme la plupart des fruits de mer, la crevette possède une valeur nutritive très intéressante, étant une source de plusieurs vitamines et minéraux, tels le sélénium, la vitamine B12, le fer et le cuivre. De plus, c’est un aliment faible en matières grasses occupant une place de choix dans une saine alimentation.

Principes actifs et propriétés

Les principes actifs de la crevette n’ont pas fait l’objet d’études précises. Notons tout de même quelques études démontrant des résultats intéressants sur les bénéfices à consommer des poissons et des fruits de mer. Tout d’abord, une étude réalisée auprès de plus de 14 000 femmes a démontré que plus elles consommaient de poissons et de fruits de mer, moins leur risque d’être atteinte de cancer colorectal était élevé1. Une autre étude, effectuée auprès d’hommes chinois, a démontré que la consommation hebdomadaire d’au moins un repas de poissons ou de fruits de mer diminuerait le risque d’infarctus fatal du myocarde, comparativement à une consommation moindre2. À l’heure actuelle, les effets bénéfiques de la consommation de poissons et de fruits de mer ne peuvent être associés à un principe actif en particulier; des études cliniques sont nécessaires afin d’identifier les composantes impliquées. Par contre, la présence d’acides gras oméga-3 dans ces produits marins pourrait avoir un rôle important à jouer.

Acides gras oméga-3.La crevette contient de l’acide eicosapentanoïque (EPA) et de l’acide docosahexanoïque (DHA), deux acides gras de la famille des oméga-3. Ces acides gras agissent comme précurseurs de messagers chimiques favorisant un bon fonctionnement immunitaire, circulatoire et hormonal. Plusieurs études épidémiologiques et cliniques ont mis en évidence que la consommation d’acides gras oméga-3 (provenant majoritairement de poissons gras) pourrait exercer des effets favorables sur la santé cardiovasculaire, dont la diminution de la mortalité par maladie cardiovasculaire3. Ces acides gras sont reconnus pour réduire la tension artérielle, les triglycérides sanguins et la formation de caillots sanguins.

Même si les quantités optimales d’acides gras oméga-3 à consommer ne sont pas fermement établies, les preuves scientifiques démontrent que la consommation quotidienne de 500 mg à 1 800 mg d’EPA et de DHA permettrait de profiter des bienfaits qui y sont reliés4. Une portion de 100 g de crevettes (environ 16 grosses crevettes cuites) en fournit un peu plus de 300 mg. À titre comparatif, la crevette contient sept fois moins d’EPA et de DHA que le saumon, un poisson gras.

Sélénium.La crevette est une excellente sourcede sélénium. Le sélénium travaille de concert avec l’une des principales enzymes antioxydantes, prévenant ainsi la formation de radicaux libres dans l’organisme. Il contribue aussi à convertir les hormones thyroïdiennes dans leur forme active. Une portion de 100 g de crevettes permet de combler 70 % de nos besoins quotidiens en sélénium.

Vitamine B12.Les crevettes sont une excellente source de vitamine B12. Appelée aussi cobalamine, cette vitamine aide à la fabrication de nouvelles cellules, contribue à l’entretien des cellules nerveuses, rend l’acide folique actif et participe au métabolisme de certains acides gras et acides aminés.

Les crevettes sont très riches en purines, substances précurseurs de l’acide urique. Les purines contenues dans certains aliments contribuent à augmenter davantage la concentration d’acide urique dans le sang, d’où l’importance pour les gens souffrant de la goutte d’en éviter la consommation. (Voir notre fiche Goutte, dans la section Maux.)


Benoit V.

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