23-01-2004, 21:29:22 -
peut-être du nouveau : accrochez-vous y a d'la lecture !!!!! fou
Les facteurs externes :là on rejoint les dires de MICHEL <_<
L'environnement peut jouer un grand rôle dans la différenciation sexuelle. Ainsi la température a une influence sur les caractères sexuels de nombreux animaux. Les oeufs des amphibiens, des lézards ou des alligators, qui se développent à basse température (moins de 10°C) donneront 100% de femelles par contre, à hautes températures ce sont uniquement des mâles qui seront formés. Chez la tortue, l'influence de la température est inverse. Certaines tortues sont aussi sensibles à l'humidité (un sol sec entrainant la formation de mâles et de femelles). La composition ionique du milieu, la densité de population ainsi que la photopériode peuvent également jouer un rôle.
CLIN D'OEIL : Pas d'excitation ! Pas besoin de demander à votre femme (ou à vous même) de se faire des bains journaliers d'eau chaude ou enrichie en je ne sais quels minéraux, pour l'Homme seuls des facteurs génétiques interviennent dans la différenciation sexuelle :lol:
Là çà devient intéressant
La parthénogenèse :
Il s'agit d'une reproduction asexuée, mais très proche d'une reproduction sexuée, où un seul gamète intervient. La parthénogenèse donne des individus femelles (parthénogenèse thélitoque), mâles (p. arrhénotoque) ou des mâles et des femelles (p. deutérotoque).
La parthénogenèse peut être facultative ou constituer une étape obligatoire dans un cycle d'alternance de générations. Fréquent chez les insectes, la parthénogenèse cyclique permet à un seul couple (mâle et femelle), généralement au début de la mauvaise saison, de donner naissance à plusieurs générations d'individus parthénogénétiques. Ce sont les facteurs externes, signes de mauvaises périodes, qui déterminent l'apparition d'individus sexués.
Si pour beaucoup d'invertébrés, les individus parthénogénétiques sont haploïdes, pour les vertébrés (poissons, amphibiens ou lézards) La parthénogenèse necessite la régulation du nombre des chromosomes. En effet les gamètes à l'origine des futurs oeufs sont haploïdes. Pour obtenir des cellules diploïdes plusieurs phénomènes peuvent avoir lieu selon les animaux :
• la réapparition de chromosomes fils,
• la fusion du noyau d'un globule polaire avec l'ovule,
• la fusion des noyaux issus d'une mitose.
Lors des parthénogenèses thélitoques (femelle XX -> femelle -> femelle..) la fusion d'un chromosome sexuel avec un autosome (ou sa perte) permet l'apparition d'un individu de sexe mâle (XO). Ce sont les mauvaises conditions du milieu qui déclenche ce phénomène
bon finit le blabla : après tout, ils font ce qu'ils veulent ces petits poissons
Les facteurs externes :là on rejoint les dires de MICHEL <_<
L'environnement peut jouer un grand rôle dans la différenciation sexuelle. Ainsi la température a une influence sur les caractères sexuels de nombreux animaux. Les oeufs des amphibiens, des lézards ou des alligators, qui se développent à basse température (moins de 10°C) donneront 100% de femelles par contre, à hautes températures ce sont uniquement des mâles qui seront formés. Chez la tortue, l'influence de la température est inverse. Certaines tortues sont aussi sensibles à l'humidité (un sol sec entrainant la formation de mâles et de femelles). La composition ionique du milieu, la densité de population ainsi que la photopériode peuvent également jouer un rôle.
CLIN D'OEIL : Pas d'excitation ! Pas besoin de demander à votre femme (ou à vous même) de se faire des bains journaliers d'eau chaude ou enrichie en je ne sais quels minéraux, pour l'Homme seuls des facteurs génétiques interviennent dans la différenciation sexuelle :lol:
Là çà devient intéressant

Il s'agit d'une reproduction asexuée, mais très proche d'une reproduction sexuée, où un seul gamète intervient. La parthénogenèse donne des individus femelles (parthénogenèse thélitoque), mâles (p. arrhénotoque) ou des mâles et des femelles (p. deutérotoque).
La parthénogenèse peut être facultative ou constituer une étape obligatoire dans un cycle d'alternance de générations. Fréquent chez les insectes, la parthénogenèse cyclique permet à un seul couple (mâle et femelle), généralement au début de la mauvaise saison, de donner naissance à plusieurs générations d'individus parthénogénétiques. Ce sont les facteurs externes, signes de mauvaises périodes, qui déterminent l'apparition d'individus sexués.
Si pour beaucoup d'invertébrés, les individus parthénogénétiques sont haploïdes, pour les vertébrés (poissons, amphibiens ou lézards) La parthénogenèse necessite la régulation du nombre des chromosomes. En effet les gamètes à l'origine des futurs oeufs sont haploïdes. Pour obtenir des cellules diploïdes plusieurs phénomènes peuvent avoir lieu selon les animaux :
• la réapparition de chromosomes fils,
• la fusion du noyau d'un globule polaire avec l'ovule,
• la fusion des noyaux issus d'une mitose.
Lors des parthénogenèses thélitoques (femelle XX -> femelle -> femelle..) la fusion d'un chromosome sexuel avec un autosome (ou sa perte) permet l'apparition d'un individu de sexe mâle (XO). Ce sont les mauvaises conditions du milieu qui déclenche ce phénomène
bon finit le blabla : après tout, ils font ce qu'ils veulent ces petits poissons
